CinéCulture #1: de l’animé robotique au film post-apocalyptique

Adeptes de films, séries, livres, ou simplement curieux de découvrir, j’écris cet article dans le but de partager une de mes passions avec vous et de pouvoir discuter dans ce topic des différentes œuvres présentées. Je ne suis pas rédactrice et encore moins professionnelle, alors si vous avez des conseils n’hésitez pas!


Le but de CinéCulture est de vous présenter différentes oeuvres (films, séries, livres…) afin de vous faire découvrir de nouvelles choses à regarder et d’en discuter (sans spoils, bien entendu!). J’y exposerai un synopsis et une description de manière objective puis mon point de vue. Si débat il y a dans les commentaires du topic, je compte sur vous pour que cela soit fait dans le calme et dans le respect des avis de l’autre!




Animé mélangeant science-fiction, psychologie, robotique et amour, Darling in the Franxx est apparu en 2018 et se compose de 24 épisodes. Ecrit et réalisé par Atsushi Nishigori avec l’aide de Naotaka Hayashi, l’histoire se déroule dans un univers que l’on pourrait considérer comme post-apocalyptique puisque la Terre n’est plus que désert et que les villes ne sont plus que des “dômes” d’habitations. Ces habitations sont menacées par des créatures appelées “Hurleurs” où seuls les robots nommés “Franxx”, pilotés par deux enfants, un homme et une femme parfaitement synchroniser entre eux, sont efficaces contre eux.

On suit ici l’unité 13, composée de plusieurs duos d'enfants capable de piloter des Franxx et plus particulièrement Hiro ou Code 016. Hiro est le seul à ne pas réussir à se connecter avec sa partenaire, jusqu’à ce qu'il rencontre Zero Two (Code 002), une jeune fille mi-humaine mi-hurleuse, avec qui il réussit sans mal à piloter son Franxx. De nombreuses rumeurs circulent en ce qui la concerne, comme quoi ses partenaires meurent tous rapidement après avoir piloter avec elle.

Vous suivez donc l’histoire de ces deux partenaires ainsi que toute l’unité 13 et leurs objectifs, dans le but de comprendre le pourquoi du comment de tout l’univers proposé!

En ce qui concerne mon avis sur cet animé, et bien il fait clairement partie de mon top 3 de mes animés favoris. Dynamique, les personnages attachants, on est très vite plongé dedans et prit dans de nombreux questionnements en ce qui concerne l’univers et les concernés. Peut-être un peu trop romantique sur les bords, mais ce n’est franchement pas gênant, je me suis même surprise à apprécier ce point de l’animé au fur et à mesure. Et parce que les images inspirent plus que les mots, voici l’opening numéro 1 de l’animé (je n’ai malheureusement pas trouvé de correctes bandes d’annonces):






On ne parlera pas du livre World War Z mais du film dans cet article (rangez vos grimaces d’avance les pro-lecteurs!). En effet, le livre n’a pratiquement rien à voir avec le film, ils sont difficilement comparables. Je vous conseille donc de vous pencher sur le livre si le film vous a plu (et de ne pas regarder le film en pensant qu'il ressemblera au livre!).

Passons à la présentation! Datant de 2013 et réalisé par Marc Forster, c’est un film de science-fiction sur le thème du monde post-apocalyptique causé par une lourde épidémie, d’une durée de 2h. Nous suivons une famille dont le père Gerry Lane (joué par Brad Pitt) est un ancien enquêteur des Nations unies. Brusquement coincé dans un embouteillage, la famille se retrouve au beau milieu du chaos que va devenir la ville où ils habitent. Lane remarque que certains êtres humains s’attaquent entre eux et se propagent un virus mortel, qui les transforment en des zombies plutôt agressif. Ce virus touche toute la planète et devient de plus en plus menaçant, le père de famille se doit donc de reprendre du service afin d’offrir ses talents d’enquêteur pour trouver la source de la contamination, comment remédier à ce virus mais surtout pour protéger sa famille.

Pour ma part, n’ayant pas lu les livres avant de regarder le film, j’ai plutôt bien apprécié la manière dont celui-ci est réalisé. Seul désavantage à mon sens, c’est que, comme la plupart des films de “zombies”, il est plutôt prévisible. Cependant, l’énigmatique de ce film est vraiment plaisante et rien que pour regarder jouer Brad Pitt, il vaut vachement le coup (bah quoi?). Allez, pour terminer cet article je vous offre la bande d’annonce, voyez par vous-même !


De plus, World War Z est disponible sur Netflix, mais malheureusement pas Darling in the Franxx.

J’espère que cet article vous aura plu (désolée si il y a des fautes d'orthographe que je n'ai pas remarqué après relecture) ! N’hésitez pas à y exprimer votre avis sur ce topic, que ce soit sur CinéCulture ou sur les deux œuvres proposées dans celui-ci. Le but est de vous faire découvrir et d’en parler entre nous!

Darling c'est bien, mais la fin est mwé j'ai trouvé. Sans spoilé, le dénouement final (à partir de l'épisode 20 en gros) sort de nul part et l'ensemble de l'univers aurait pu être mieux exploité.
Mais ça reste un très bon animé!

Pour World War Z, je me souviens juste de "Dans le bide c'est pas mal, dans la tête c'est génial!".

Bonjour,

Sujet très intéressant, même si j'ai un peu de mal à cerner l'objectif entre le titre et son contenu.

Personnellement, j'entends parler de 'Darling in the Franxx' depuis un moment mais je ne l'ai toujours pas regardé (oui je fais partie des gens qui découvrent la plupart des anime récents avec un ou deux ans de retard).

Faudra un jour que je me rattrape, mais quitte à en parler, je pense qu'il serait utile de faire le lien avec avec quelques autres séries:

WORK IN PROGRESS, pas le temps de finir maintenant, je finirai demain


- Bien que l'origine des robots dans la fiction japonaise moderne remonte aux années 50 avec des séries comme 'Astro, le petit robot' pour ensuite rapidement évoluer vers les méchas géants en passant par 'Mazinger' ou 'Goldorak', il est difficile de parler du genre sans évoquer l'une de ses plus grandes saga: 'Gundam'.

Petit récapitulatif:
Première série de la saga développée par le studio Sunrise (Code Geass, Cowboy Bebop...), Mobile Suit Gundam est apparue en 1979 pour lancer le sous-genre des real-robots, robots géants pilotés de l'intérieur dans un contexte réaliste souvent sur une intrigue de conflit armé ou politique (mais pas toujours). A la manière de Final Fantasy, cette série a jeté les base d'une recette mainte fois réutilisée avec plus ou moins de succès, entre adolescent se retrouvant malgré lui aux commandes, personnage masqué aux objectifs mystérieux.

Gundam Wing

Gundam Seed

Evangelion

Gurren Lagann

Sora wo Kakeru Shoujo

En fait c'est "les rotules c'est pas nul, la cervelle c'est nickel"